opus 450
*
La porte verte
*
LA CLE DE LA VERDURE
Acculé par le mauvais sort des puissants,
chefs bandits ivres comme des insectes
ivres de la collecte obsessionnelle
des nourritures , car insatiables ...
Acculé par la gourmandise des vers
ceux qui tâtonnent dans l'obscurité des chairs
en quête de mes propres crocs
Je parvins dans les parages d' un mur qui semblait d'acier et de feuillages...
Le mur était d'acier pour les âmes endurcies
qui me poursuivaient et evitaient l'ennui
elles ne pourront franchir ce mur
pas plus que les vampires
découragés par la venue du Jour.
Mais pour les souffles apaisés
à la conscience honnête, à l'oeil clair
ce mur est herbe tendre et accueillante
Repentance sereine des tentations de prédations.
Mes yeux ont traversé les briques
claires tatouées d'obscurités.
J'entre dans la maison de joie inconditionnée
et j'en ouvre les portes aux vents de l'amitié.
De là en amont du rêve
je vois des femmes et des hommes
qui gravissent la montagne
Ils se délestent peu à peu
de leurs fardeaux d'illusions
et de peurs.
Pour devenir légers ils s'évadent
aussi de leurs peaux de bêtes
et les yeux tournés vers le haut
explorent les mathématiques
généreuses de l'Utopie
(opus 1083 en rapport avec l'opus 450)
Acculé par le mauvais sort des puissants,
chefs bandits ivres comme des insectes
ivres de la collecte obsessionnelle
des nourritures , car insatiables ...
Acculé par la gourmandise des vers
ceux qui tâtonnent dans l'obscurité des chairs
en quête de mes propres crocs
Je parvins dans les parages d' un mur qui semblait d'acier et de feuillages...
Le mur était d'acier pour les âmes endurcies
qui me poursuivaient et evitaient l'ennui
elles ne pourront franchir ce mur
pas plus que les vampires
découragés par la venue du Jour.
Mais pour les souffles apaisés
à la conscience honnête, à l'oeil clair
ce mur est herbe tendre et accueillante
Repentance sereine des tentations de prédations.
Mes yeux ont traversé les briques
claires tatouées d'obscurités.
J'entre dans la maison de joie inconditionnée
et j'en ouvre les portes aux vents de l'amitié.
De là en amont du rêve
je vois des femmes et des hommes
qui gravissent la montagne
Ils se délestent peu à peu
de leurs fardeaux d'illusions
et de peurs.
Pour devenir légers ils s'évadent
aussi de leurs peaux de bêtes
et les yeux tournés vers le haut
explorent les mathématiques
généreuses de l'Utopie
(opus 1083 en rapport avec l'opus 450)
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